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13 mai 2017
23 oct. 2016
16 août 2016
12 août 2016
27 juil. 2016
Connexions extraordinaires
Les « connexions » extraordinaires
des artistes
De nombreux artistes disent avoir rêvé certaines de leurs œuvres. D’autres racontent vivre des états mystiques et seraient comme connectés à d’autres dimensions qu’ils considèrent source de leur inspiration créative.
Akiane Kramarik
Depuis l’âge de 4 ans, Akiane Kramarik peint des visages, des regards, des scènes de vie, des animaux et des paysages, avec un réalisme, une émotion et une profondeur à couper le souffle.
Si la jeune prodige, aujourd’hui âgée de 18 ans, n’a jamais reçu d’éducation religieuse,
elle a toujours prétendu être transcendée par Dieu. « Dès l’enfance, j’ai eu de nombreuses visions aux couleurs vibrantes que j’ai reproduites en peinture. Puis, par une nuit froide étoilée, j’ai été réveillée par un souffle à la fois léger et intense.
Là, j’ai conversé avec Dieu et visité le Paradis. Depuis, il me guide et m’inspire dans mon art. »
Akiane Kramarik est loin d’être un cas isolé. Depuis toujours, de nombreux artistes – peintres, musiciens, sculpteurs, écrivains, acteurs... - disent avoir eu l’impression de ne pas être à l’origine d’une œuvre qu’ils ont pourtant créée. La plupart tireraient leur inspiration de leurs rêves, ou lors de moments privilégiés de grâce.
Rêver une œuvre
« Pour une fois, vous allez entendre un rêve, un rêve que j'ai mis en musique ...
J'ai rêvé tout cela.
Jamais ma pauvre tête aurait pu inventer une telle chose délibérément. »
En septembre 1853, pendant une sieste, il conçut le prélude pour orchestre de L'anneau du Libelung. En mai de l’année suivante, il termina l'opéra en entier.
Robert Louis Stevenson (1850-1894), écrivain britannique, auteur de l'Île aux trésors, constata très jeune qu'il pouvait rêver des histoires entières et même continuer un même rêve les nuits suivantes pour lui trouver une fin différente ou affiner une intrigue. Dans son autobiographie, Across the Plains, Stevenson écrit que ses rêves étaient produits par des petits bonhommes qui travaillaient toute la nuit, jouant devant lui des morceaux d'histoire sur un petit théâtre illuminé.
C’est ainsi qu’est né L’Etrange cas du Doctor
Jekyll et Mister Hyde.
Autre exemple, plus récent, celui du réalisateur américain James Cameron qui aurait,
lui aussi, trouvé l’inspiration dans ses rêves pour réaliser le film Avatar.
Or, qu’est-ce que le rêve en parapsychologie ?
Ce n’est rien d’autre qu’un état modifié de conscience qui se révèle être un terrain très favorable aux expériences de télépathie, d’intuition et de prémonition, et permet d’avoir accès à des sources intarissables d’informations.
État de grâce, état de transe
Le rêve n’est pas le seul état modifié de conscience à travers lequel les artistes sembleraient trouver l’inspiration créatrice.
Certains, pourtant bien éveillés, disent vivre
des moments de transcendance.
Dans son autobiographie, L’homme qui avait bâti sa maison sur le sable, le chanteur Michel Delpech raconte lui aussi son expérience :
« Lorsque je compose des chansons, je me
trouve parfois dans des états particuliers, une espèce d’état de grâce. Je me demande comment l‘inspiration me vient et d’où elle vient. J’ai la sensation d’entrer en communication avec des sphères inconnues et d’être mystérieusement aidé dans ma création, comme si une alchimie extérieure accomplissait une part de mon travail.
Il s’agit d’un phénomène étrange, commun, je crois, aux artistes. Sans le savoir, je suis une sorte de mystique à l’écoute d’un absolu. »
Un autre chanteur français, Laurent Voulzy, avouait lui aussi, lors d’une interview, avoir cette impression de ne pas se sentir auteur de ses œuvres mais d’être comme connecté par le haut de la tête à quelque chose de « plus grand que lui » qui lui « envoie » ses musiques et ses textes. Comme s’il ne composait plus mais qu’on composait pour lui.
Dans son livre Psi Enquête sur les phénomènes paranormaux, le journaliste Erik Pigani s’est intéressé de près à l’inspiration créatrice des artistes. Pour rédiger cet ouvrage, l’auteur a recueilli les témoignages de plus de cent cinquante personnalités qui lui ont fait part de leurs propres expériences, leurs propres visions sur leur art, et leur incroyable mode de création.
« Du néant surgit parfois des souffles brûlants qui embrasent le cerveau de certains hommes faisant crépiter mille et une idées pleines de songes,
de sons et de couleurs, reflets d’un univers mystérieux, inaccessible au commun des mortels, écrivait-il. Parfois même ce souffle s’empare de leur corps tout entier, le faisant tourner, chanter et danser comme s’ils étaient subitement animés par la force des dieux. A travers ces hommes, c’est la Vérité qui s’écoule, non pas celle de la pensée mais
celle qui, au-delà des émotions exprime l’Etre. A travers eux, c’est l’univers qui parle et se manifeste, non sous forme de savants calculs et de superbes théories, mais d’images et de vibrations. »
De nombreux acteurs et chanteurs, lorsqu’ils interprètent un rôle ou une chanson en public, disent également entrer dans un état « quasi mystique ».
Comme la chanteuse Fabienne
Comme la chanteuse Fabienne
Thibeault, voix mythique de Starmania, qui raconte avoir souvent l’impression de se dédoubler sur scène. « C’est comme si nous étions deux, comme si je n’étais plus toute seule.
Et cette sensation n’est pas un simple fait anecdotique. C’est un événement important qui dépasse de loin la force des états émotionnels habituels. », confiait-elle.
« Les arts de la représentation sont, par excellence, une transition, un médium, entre notre réalité quotidienne et d’autres types de réalités, écrit Erik Pigani. La preuve : la scène permet à certains interprètes d’expérimenter spontanément de très particuliers phénomènes psychiques. (...)
Est-il possible de définir cet état ?
Si la sensation de dédoublement peut être comparée à une sortie de corps, et l’impression d’être investi par une force extérieure à la médiumnité, la catégorie la plus approchante est probablement la transe.
Il ne faut pas prendre cette expression au sens péjoratif : depuis l’aube des temps, les hommes connaissent cet état mystique particulier, cette expérience transpersonnelle par excellence qui leur permet de s’entretenir avec les dieux et de recevoir des messages du cosmos. »
Le célèbre psychologue américain Charles Tart, connu pour ses recherches sur les états modifiés de conscience et la parapsychologie, confirme, expliquant que « la transe est un processus naturel à l’être humain qui permet de dépasser ces limites et d’entrer en contact avec la totalité de notre être et avec les mondes invisibles. »
Les artistes : des sujets PSI ?
Les artistes auraient-ils plus de facilité à s’ouvrir sur d’autres dimensions, à avoir des capacités extrasensorielles et à vivre des expériences extraordinaires ?
Seraient-ils des sujets PSI ?
Erik Pigani en est convaincu :
« Les artistes seraient deux fois plus doués que la moyenne d’entre nous ! Les musiciens, plutôt introvertis et à l’écoute de leurs sentiments
intérieurs, sont de bons télépathes ; les acteurs, plutôt extravertis, expriment clairement leurs intuitions ; les dessinateurs, qui ont l’habitude de visualiser, ont des facilités pour la clairvoyance ; les romanciers, surentraînés à imaginer intérieurement des scénarios, ont souvent des prémonitions… En 1997, une expérimentation réalisée avec cent vingt huit artistes à l’université d’Edimbourg, en Ecosse, a montré que les plus créatifs étaient les plus réceptifs.
Pourquoi ?
Parce que les qualités psychologiques de la
créativité sont celles qui permettent l’apparition du psi : être ouvert à ses émotions, être enthousiaste pour toute nouvelle expérience, être capable d’empathie avec les autres, être tolérant et ne pas avoir peur de son imaginaire. »
Sources de l'article
http://www.inrees.com/articles/Les-connexions-extraordinaires-des-artistes/
28 juin 2016
Ho’oponopono
Retrouver la paix intérieure
avec Ho’oponopono
Ah les pensées… Personne n’a encore inventé le bouton pour les arrêter. Bien souvent, elles se jouent de nous, téléguidant nos vies sans même que nous nous en rendions compte…
La méthode Ho’oponopono, issue d’une tradition ancestrale hawaïenne, permet de prendre conscience de leur influence et de nous libérer de leur emprise.
Imaginez.
Vous avez un rendez-vous professionnel important. En dépit de votre motivation et de votre volonté, vous ne pouvez vous empêcher de penser qu’il va mal se passer, que vous n’obtiendrez pas les résultats attendus.
Et comme par hasard, cet entretien ne se déroule pas à votre avantage. Vous pouvez alors vous dire que vous n’avez pas eu de chance, et trouver une explication « extérieure » à la situation. La méthode Ho’oponopono invite à faire exactement l’inverse, c’est-à-dire à transformer les pensées pouvant être à l’origine de cette situation.
Originellement, le terme Ho’oponopono veut dire
« corriger ce qui est erroné »,
« rendre droit », « harmoniser »,
« remettre en ordre », revenir à ce qui est juste.
A l’époque, dès qu’un problème relationnel surgissait au sein d’une communauté, une réunion était organisée en présence d’un prêtre afin que chaque membre puisse s’exprimer.
Puis chacun prenait conscience de ses pensées erronées à l’origine des problèmes et demandait pardon aux autres. Ce procédé a été adapté à notre société moderne à la fin des années soixante dix par la guérisseuse et chamane Morrnah Simeona, née à Hawaï, aujourd’hui décédée.
Il est possible d’utiliser ce rituel de pardon et de réconciliation avec soi-même sans l’aide d’un intermédiaire.
Nos pensées créent notre réalité
D’après Maria-Elisa Hurtado-Graciet,
co-auteur d’Ho’oponopono,
le secret des guérisseurs hawaïens :
« il s’agit simplement de comprendre que tout ce nous rencontrons dans notre vie n’est que le reflet de quelque chose qui se trouve à l’intérieur de nous. Nous sommes bien les créateurs de tout ce qui nous entoure et de tout ce qui se déroule
dans notre vie ».
Accepter l’idée que nos pensées puissent être à l’origine de la plupart de nos problèmes demande une certaine humilité et nous encourage à en assumer la responsabilité.
La bonne nouvelle, c’est qu’en modifiant nos pensées, nous pouvons changer notre réalité.
Des pensées issues de nos mémoires
La guérisseuse et chamane Morrnah affirmait que
« tous les êtres humains sont alourdis par leur passé et que chaque fois qu’une personne sent une peur ou un stress, elle devrait prendre la peine de l’observer à l’intérieur d’elle-même. Elle constaterait alors que la cause de son malaise provient d’une de ses mémoires »,
raconte Maria-Elisa Hurtado-Graciet dans son livre. Pour l’auteure, « une mémoire est un programme inconscient, créé par un événement qu’une personne ou quelquefois même ses parents ou ancêtres ont vécu dans le passé.
Celui-ci est à l’origine de croyances, d’émotions et de peurs à travers lesquelles la perception de la réalité est déformée ». Elles nous empêchent d’accéder à la réalité telle qu’elle est vraiment et d’être pleinement nous-mêmes.
En allant « nettoyer » progressivement ces mémoires avec Ho’oponopono, nous allons découvrir notre identité réelle.
Chaque situation déstabilisante ou contrariante est l’occasion de procéder au nettoyage des mémoires pouvant être en résonance avec elle. Comment ?
Selon Marie-Elisa Hurtado-Graciet,
il est important de comprendre qu’il s’agit avant tout d’un processus. Ces mémoires sont stockées dans notre subconscient, que l’on peut associer à notre partie émotionnelle.
Il y a également d’autres mémoires appartenant à ce que Jung appelait l’inconscient collectif et auxquelles nous sommes également reliés.
Notre mental nous aide à analyser les situations et à prendre des décisions, mais il n’a pas conscience de nos mémoires et ne peut pas nous être d’une grande aide. Il s’agit alors de « s’adresser à "la partie spirituelle” en nous qui est toujours reliée à ce que certains nommeront l’Esprit, et d’autres Dieu, la Source ou l’Univers.
C’est cette énergie qui va nettoyer les mémoires », précise Maria-Elisa Hurtado-Graciet. L’idée est de confier la libération de ces mémoires à cette partie en nous. Le plus difficile est ensuite de lâcher-prise et de faire confiance.
Pour cela, nous pouvons nous aider d’un mantra synthétisant parfaitement le déroulement du processus : « Je suis désolé(e) car je ne savais pas que j’avais ces mémoires en moi.
Pardon, par le don, je fais l’offrande de ces pensées erronées et je donne ainsi mon accord pour qu’elles soient corrigées. Merci car je vais pouvoir libérer ces mémoires. Et enfin, je t’aime, car c’est par l’énergie de l’amour que je vais pouvoir les libérer ». Comme le souligne Maria-Elisa Hurtado-Graciet, il ne s’agit pas d’une formule magique. L’important est d’agir en conscience.
Ho’oponopono peut ensuite se résumer à dire
« Merci, Je t’aime ».
Vous pouvez utiliser ce mantra à n’importe quel moment de votre journée, le matin en vous levant, le soir avant de vous coucher, mais aussi pendant vos trajets ou lorsque vous attendez dans une file d’attente. « Les mémoires étant inconscientes, pourquoi attendre qu’elles se manifestent et provoquent un problème alors que nous pouvons les nettoyer ? », insiste Maria-Elisa Hurtado-Graciet. Elle recommande d’utiliser Ho’oponopono de manière préventive.
Avant un rendez-vous important, un dossier à préparer, etc… En amont de toute situation avec laquelle vous pouvez avoir des pensées erronées.
« C’est une discipline. C’est comme ça que nous allons changer notre façon de fonctionner et surtout notre façon d’être », explique l’auteure. Un autre point important concernant Ho’oponopono est de rester sans attente précise.
Comme le rappelle Maria-Elisa Hurtado-Graciet, « il n’y a rien à changer à l’extérieur, tout se trouve à l’intérieur de nous. Nous devons faire confiance à la vie, mais aussi être sûrs que la meilleure solution nous sera apportée ».
Les bienfaits d’Ho’oponopono
En se focalisant sur le nettoyage des mémoires et non sur le problème en lui-même, Ho’oponopono aide à prendre de la distance et du recul face aux situations difficiles et à se recentrer.
Au fur et à mesure de son utilisation, cette méthode va nous permettre de nous débarrasser progressivement de toutes les croyances, les mémoires erronées, nous empêchant d’être nous-mêmes. Nous allons peu à peu nous libérer de ces valises encombrantes et retrouver notre véritable identité, notre chemin de vie,
avec la sensation d’être allégés.
D’autre part, en nous apprenant à lâcher prise,
nous allons pouvoir accueillir l’inspiration et la créativité. Ce processus nous invite par ailleurs à prendre soin de nous-mêmes et à nous aimer.
« Quand je cherche la reconnaissance et l’amour des autres, je ne m’autorise pas à être moi-même. Je me force à être la personne que je crois que les autres veulent que je sois.
Et je ne peux pas être heureux(se) ».
Ho’oponopono va permettre cette reconnexion à soi et de retrouver la paix intérieure.
« Quand vous êtes en paix, les choses tout autour de vous retrouvent aussi la paix »,
observe Maria-Elisa Hurtado-Graciet.
21 juin 2016
19 juin 2016
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